domingo, 13 de novembro de 2011

Chapître IV: Le guet-apens !


Curieux et insatiable, je vais toujours au fond des choses. Les rêveurs c’est comme : toujours des défis sur la lame du rasoir. Depuis mon enfance, j’ai l’impression que je cherche toujours les difficultés pour tester jusqu’où je peux aller. En pénétrant dans les labyrinthes du WEB et en découvrant des milliers de mondes – car chaque personne en est un – je me suis, parfois mis en situations compliquées, toujours dues à mon instinct impulsif et à l’horreur que j’ai pour mes mystères que pour moi doivent exister pour être dévoilés le plus vite possible.Sachant cela, j’ai décidé de rencontrer les confidentes qui me sembleraient en mesure de me proportionner quelque chose de inédit et gratifiant capable de remplir le vide qui se creusait en moi à chaque jour sans conquête.Un jour de janvier, Marie de Longwy, la trentaine, ex-employée de banque, mère au foyer, m’a vite accroché. Vive, féline, perspicace, avec elle on pourrait se flécher à volonté ! On avait même l’impression que plus on de tirait dessus, plus on recevait de flèches dans notre étui.Je l’ai invitée donc à boire un café dans une surface commerciale d’un pays neutre ! Là dessus je suis gâté parce que sur 300 mètres de frontière on à 3 pays. Elle était ponctuelle eau rendez-vous. Juste un bonjour, salut et une bise sur la joue, avant de prendre un chocolat chaud. Ce une fut une rencontre normal : ni déception, in enchantement ou coup de foudre. Par la suite j’ai encore rencontre quatre et aucune réussi à m’épater, même si en toutes j’ai trouve toujours quelque chose d’attrayant et désirable.Le 16 avril à 2 heures 30 minutes, je suis venu sur tchatche.com et trouvé une femme avec un profil alléchant : jeune fille cherche monsieur mûr ! Trois minutes plus tard, juste 2 questions et j’avais en mains le numéro de la personne en question. Encore cinq minutes, pour éteindre le pc, et le rendez-vous était fixé. Une heure après on se rencontrait à 100 mètres de na frontière dans le parking du No Man’s Land, le premier café français après Dudelange, ville luxembourgeoise.Deux minutes d’attente et voilà que la créature s’amène : une fille pas mal, baisable, avec pantalon noir et blouse large, cigarette à la main. Hum ! Premier point négatif : j’ai toujours mauvaise impression des fumeuses! Je ne sens pas à l’aise avec elles. Elle rentre dans ma voiture et on se regarde ! On se sourit et puis elle me dit que elle qu’aime le sexe et qu’au faite, elle n’est ni putain, ni entraîneuse, ni call-girl, ni allumeuse : libertine qui se fait payer les plaisirs qu’elle donne à ses amants.C’était 14 heures 10 minutes, on décide aller boire un verre. À table, Cathy – comment m’a-t-elle dit s’appeler – me fait part de ses tarifs : 2500€ le mois pour sexe à gogo, jour et nuit. En buvant mon thé, je sens sa fumé, je vois ses dents noircies par le tabac, je regarde ses seins blancs et découvre ses rondeurs superflues de côté. Cathy avait commandé un Campari orange. Je lui raconte un peu ma vie, je lui dis que suis trop occupé et que j’ai pas besoin d’une maîtresse 24 heures ou même 2 heures par jour, donc son manège ne m’intéresse pas, puisque que je n’ai pas le temps et en plus je n’achète jamais rien sans essayer. Donc pour un essai je suis partante quoique la fumée et les dents noirs. Allez, je me dis, ne sois pas si exigeant, Luís ! À fur et à mesure de mes réticences et de mes observations, du gendre je peux voir toutes les putains du Grand duché et faire un teste pour 100€, Cathy, toujours souriante, commence à diminuer les tarifs en les baissant à 500€ la semaine, pour quelques rencontres, vu qu’elle disait avoir une copine à Bonnevoie, quartier près de la gare de la ville de Luxembourg. Quand le lui a demandé qu’aimait-elle et faisait-elle à part brader son corps, elle m’a répondu qu’elle s’occupait un peu de son copain et qu’elle aimait écrire. Je luis alors raconté mes expériences littéraires, ce qui l’a emballé. Avant de quitter le café, on s’est échangé nos mails, car ne la voyant pas nue, je pourrais pas l’évaluer. Elle promit de m’envoyer des photos de nu à elle, mais sans tête. Je lui ai signé mon accord et nous sortîmes direction le parking du No man’s Land, où sa voiture était restée garée. Nous sous quittâmes avec une simple bise et un sourire. Deux jours plus tard, j’ai reçu un mail de Cathy, en réalité Émilie, d’origine espagnole selon elle, avec un photo montrant ses seins de haut en bas, qui ne me fit aucun effet. Dans le mail, elle se montrait fascinée par mon sourire et mes livres et m’avoua qu’elle aussi avait des fantasmes comme tout le monde. Le sien étant de se faire accrocher mains et pieds au pare choc q’une voiture et se faire baiser et sodomiser après une bonne séance de fisting, où la main et le poing fermés rentraient 10 centimètres dans le vagin pour le remplir jusqu’à l’utérus, mais payer rien, vu que serait-elle la demandeuse. L’idée me fit fantasmer à mon tour et je lui répondis que, dans ses conditions, je ferais de mon mieux pour l’aider à réaliser son fantasme et, qui sait – je lui disais encore – si la chimie prenait entre nous il y aurait une suite. Ma boite resta vide pendant 10 jours et puis un deuxième mail arrive. Cathy s’excusait, mais elle était partie en vacances dans le sud de la France et me priait de la contacter pour régler les détails du fantasme. J’ai pris le téléphone et on s’est mis d’accord pour le samedi 30 avril 14 heures au No Man’s Land. Cependant vendredi soir je lui ai téléphoner pour lui dire que, malheureusement, ça n’irait pas, mais que le lendemain, dimanche, premier mai, je pourrais m’arranger et que je la tiendrai au courrant. Étant invitée à déjeuner chez ma sœur, où on prend plus de temps à finir ses repas, car on mange et papote toujours un peu plus que d’habitude, j’ai sentis que mes nerfs commençaient à faire bouger et à m’impatienter. Personne fit attention car, j’avais pris une revue et je m’étais assis à boire mon apéritif, un Martini rouge, en attendant que les pommes et le chevreuil soient rôtis. Le week-end du premier mai, étant normalement ensoleillé, les clubs portugais profitaient pour organiser des tournois de football. L’équipe de notre village d’origine au Portugal participant dans un tournois à 10 km de là, mon beau-frère m’invita à l’accompagner, car, fou de foot et ma sœur encore plus, mon neveu ne pouvait que devenir footballeur pour pouvoir rêver aux Ronaldo, Zidane, Figo et, qui sait, Maradonna ou Pélé. Pour cela ils n’étaient pas avares. Or mon neveu, contre la volonté du père, qui après avoir, dans son temps, été capitaine, avait quitté l’équipe sur un coup de tête, très coutumier chez lui. Or le fiston, qui jouait dans un club luxembourgeois, avait accepté de renforcer l’équipe. Comme je suis impatient par nature, ma mère et ma sœur n’ont pas trop tenu compte de mon empressement à les quitter après le repas. Ma femme n’acceptant pas de rester ni les accompagner au foot, nous rentrâmes touts les deux à la maison, car ma fille a préféré rester l’après-midi avec les oncles pour voir son cousin jouer avec ses copains et son amoureux, celui dont elle nous avait avoué quelques jours auparavant que plus elle lui cherchait des défauts plus elle trouvait des qualités, ce qui prouve l’amour n’a pas d’age pour rendre aveugle. J’ai pris alors la direction de la frontière française pour aller à Thionville à trente km de là. En cours de route j’ai une pensée qui m’a fait bouger : et si je courait me fourrer dans la gueule du loup ? Et si c’était un guet-apens ? Bon, pressé, ces idées maniaques se sont évanouies, mais sont revenues à l’approche de la frontière. Je me suis dit que je voyais trop de filmes et que la journée était trop belle pour des histoires sordides, plutôt gardées pour la nuit ou les temps sombres. Cependant, à quelques hectomètres de la ligne de partage des deux pays, le trafic s’est condensé et, instinctivement j’y ai vu un signe du destin ou de mon ange gardien, j’ai tournée à droite juste à la dernière ligne blanche et je me suis garé cinq cents mètres plus loin pour avertir Cathy je le ne pourrais pas aller au centre de Thionville, car les routes étaient engorgées sur 5 km. On s’est donné rendez-vous, 20 minutes plus tard au No Man’s land. Avant je suis passé au Café do Brasil, à Dudelange, - exploité par un cousin à moi et ma femme, que j’ai salué, vu qu’il rentrait de Rio -, où j’ai vu un Guaraná, - boisson typique du pays de la samba et très digeste , - et papoté un peu avec les Brésiliennes présentes, toujours bien à l’aise. Je m’apprêtais à quitter le café, quand j’ai vu rentrer un client à moi, Brésilien qui m’avait acheté une maison à Larochette, où cette aventure virtuelle à commencé. Je l’ai salué, je l’ai remercié encore une fois pour le coup de main qu’il avait donné à ma fille, qui avait eu besoin d’un passeport pour rentrer à Rio et Marcelo connaissant le chauffeur de l’ambassadeur Brésil à Bruxelles l’arrangea à merveille. Je lui ai demandé si les travaux de rénovation de la maison étaient terminés et s’il croyait toujours bien fait de ne pas tenir compte de mes conseils. Ce qu’il m’a répondu qu’il était marin de première traversée et que j’avais raison sur toute la ligne, car il pouvait gagner le même fric en revendant sa maison, mais sans avoir investi les sommes colossales pour retaper du vieux et sans compter les 2 ans de travail, efforts constants, démarches et tracas administratifs, préoccupations et l’inconfort et le chamboulement de leur vie affective. Je lui ai même lancé en rigolant qu’il était d’arrêter les travaux, car sinon il aurait un divorce sur les bras et que ça ne serait pas bien du tout pour la petite fée qu’il avait à la maison. Marcelo ne comprenant pas trop bien, le lui ai expliqué pourquoi les vieilles maisons favorisent les divorces. Je m’apprêtais à quitter les lieux, quand je me suis souvenu que j’avais encore un training dans le coffre de ma voiture. Je l’ai prié de m’attendre et je suis revenu 2 minutes plus tard avec le cadeau, qu’il voulu montrer aux clients du café en leurs disant que le jour où ils auraient besoin d’acheter ou de vendre une maison, ils n’avaient que s’adresser à monsieur Macedo, homme au grand cœur, toujours digne de confiance et dont la parole était sacrée, ce qui m’a fait rougir un peu. Je l’ai pris en photo pour en garder un souvenir et envoyer à ma fille à Rio. Regardant ma montre, j’ai serré la main de Marcelo sourit aux serveuses et couru vers la voiture car il était 14 heures 25 minutes et la française, selon mes calculs, serait sûrement déjà très proche du point de rendez-vous. Deux minutes plus tard, parcouru les 2 km, je me suis garé sur le parking du No Man’s Land où Cathy venait de se garer. Je l’ai attendue dans ma voiture, je lui ai sourit et je l’ai embrassé sur la joue. Après les questions d’usage, comment allez-vous, quelle belle journée, je lui demandé où et comment comptait-elle réaliser son fantasme sexuel et si je serai le seul homme. Alors elle m’a parlé qu’une copine devrait aller travail à 16 heures et lui laisserai la clé de sa maison, à quelques km de là, mais avant on avait le temps de pouvoir faire quelque chose dans un coin tranquille. Vu la chaleur qu’il faisait, elle m’a demandé si je pouvais aller acheter une bouteille dans la station service à 500 mètres de là. J’ai répondu affirmativement, mais que ça serait pour elle, car je ne buvais pas d’alcool et je n’aimais le champagne qu’avec un sorbet. Elle m’invita à monter dans sa voiture et prit la direction du centre de Dudelange et est allée se garer à l’entrée de la station. En sortant, j’ai encore pensé au guet-apens, mais encore une fois cette pensée fut éloignée par le sourire de la gentille Cathy. De retour, encore une fois le mauvais présage. Là, j’ai préféré prendre ma voiture et suivre la jeune femme jusqu’au lieu tranquille qu’elle disait connaître. Nous roulâmes pendant une quinzaine de km en tournant à droite et à gauche. Regardant le bloc-notes que j’ai toujours à portée de main, à cause de mon inspiration, j’ai alors annoté le numéro de la plaque de la voiture française immatriculé dans le département 57, don Metz est le haut lieu. Finalement Cathy se gara à 20 mètres d’un pont qui traversait l’autoroute A31, en disant que le lieux était tranquille e que personne y passait jamais. C’était un champ de blé vert avec vue sur le trafic et en plein soleil. Cela m’a paru bizarre et j’en ait fait part à Cathy, qui a baissé la tête en cherchant une couverture dans le coffre de sa voiture. Je lui ai demander de la placer entre le blé, pour passer inaperçu ou même l’ombre des arbres d’en face, mais elle n’a pas trop fait attention à mes paroles. Pris les verres de plastic et la bouteille de jus d’orange que j’avais acheté, nous nous sommes assis sur la couverture. Ma montre affichait 14 heures 55 minutes. Après avoir vu son jus, Cathy s’approcha de moi, enfila des jambes entre les miennes, commença à m’embrasser et à faire semblant, quand le bruit d’un tracteur a tout arrêté. Nous reprîmes la pose décontracté et naturelle des campeurs du dimanche et sourîmes aux types qui passaient sur l’engin agricole, qui ont fait une grimace malicieuse. Ça m’a mis la puce l’oreille, mais je me suis enjamber à nouveau para Cathy, qui a tenu à déboutonner ma chemise. Je le lui ai pris la main et arrêté au troisième bouton en me penchant sur elle pour l’embraser. Au contact de nos langues, l’odeur de la cigarette repris son envol et ça me gênât. En plus les cheveux de la vicieuse étaient sales, pas lavés en tout depuis 2 deux au moins et son corps ne m’inspirait guère. Sentant mon malaise, elle l’a alors demandé heure, 15 heures 08 minutes et s’est levé pour – a-t-elle dit – téléphoner à sa copine pour savoir si on pouvait rentrer et reprendre la clé plutôt. Je me suis levé et dirigé vers ma voiture, garé à l’ombre et boutonné la chemise. J’avais même pas relevé la tête et un mec nous faisait déjà compagnie. J’ai tout de suite compris, mais fit semblant de ne pas voir, en priant le bon dieu de m’aider à trouver la parade. Pour m’intimider, Cathy a alors demandé au type, qui nettoyait la sueur du front avec sa main, s’il avait pris les photos. En revenant vers moi elle m’a regardé et, avec une insolence à faire fauter les fusibles a commencé son monologue : « tiens, tiens, monsieur trompe sa femme ! Oh qu’elle sera heureuse de voir son mari chéri avec une plus jeune et plus jolie qu’elle ! » Là, même gêné et un peu affolé, j’ai souris et j’ai senti que ce sourire à énervé la salope qui se tourna vers son mec et lui demanda si 10 000 euros lui suffiraient, avant de poursuivre : « monsieur à venu de maisons cette semaine, écrit des romans, monsieur va être raisonnable et nous payer 10 000 euros et on oublie que monsieur trompe sa femme et on déchire le filme. » Le complice était déjà à côté de moi, mais il n’était pas menaçant. De stature médiane, je n’ai jamais eu peur de lui ! Il y avait juste un détail qui me gênait : j’allais très probablement casser mes lunettes et j’aurai du mal à expliquer ça à ma femme. J’ai alors dit qu’il ne serait jamais question que je leur paye de l’argent, car je ne l’avais pas et, de toute façon, j’avais rien fait de mal. Alors elle piqua une colère et demandé au copain de lui cogner dessus et lui laisse des blues au visage avant d’appeler la police. Il n’en croyait pas trop et préféra tourner au tour de ma bagnole en enviant les luxembourgeois, des types bourrés de fric et aux belles voitures. De discussion en compromis, ils baissèrent le prix du silence à 2500 euros, mais je suis resté ferme. Alors ils ont proféré de menaces se sont engueulées, car je restais terriblement tranquille. Sentant leurs nerfs à vif, j’ai dit à Cathy qu’elle avait oublié que le NET c’est mensonge pour tout le monde et moi aussi je savais le faire. Je lui ai alors demandé de regarder mes mains et de cherche trace d’alliance. Par chance, ce fait 5 ans que je ne porte pas de bague au doigt à cause d’un accident semblable à celui d’un gardien de but argentin, dont le doigt resta accroché au poteau de son but, déchiré par sa bague. Puis j’ai prié le type de faire attention à la voiture car elle était propriété d’une banque luxembourgeoise. La, j’ai senti qu’il ne croyait plus à son plan, mais la salope a repiqué une colère et à avoir la bougeotte en menaçant prendre un caillou pour m’abîmer la voiture et à le prier de l’agresser pour me faire porter le chapeau. Je leur ai de se calmer et j'ai offert à la dingue 100 euros pour qu’ils puissent manger et boire un coup. Elle a refusé et recommencé avec ses menaces et son monologue sur l’infidélité. J’ai lui alors proposé tout ce que j’avais sur moi : 200 euros, mais ceci ne l’apaisa pas. J’ai regardé autour de moi et il n’avait personne. Des types du tracteur pas la moindre trace, par malchance, plus de bouchon sur l’autoroute, donc pour éviter la bagarre et qu’elle perde les pédales et m’abîme la voiture, je lui ai préposé de leur donner 500 euros pour qu’on reste là et les problèmes ne comment pour tout le monde, car même s’ils mêlent la police à cette histoire, j’ai dit a Cathy que je saurais toujours prouver mon innocence, car j’avais imprimé les mails qu’elle m’avait écrit et laissé sur mon bureau pour que ma secrétaire appelle la police le lundi, le cas où je serais pas revenu. Là, j’ai évité de les regarder, mais j’ai senti qu’ils avaient pris un coup au moral. Je bleu fais, car j’ai pas de secrétaire et le mails je les avais supprimé le matin même. Finalement, un compromis à été trouvé et à la place de leur donner 300 euros à Bonnevoie, ils ont suggéré d’aller au guichet automatique retirer cette somme et ainsi l’affaire serait réglée. Le mec s’est alors assis à côte de moi et demanda à sa copine de démarrer, car lui la suivrions, ce que nous fîmes pendant 5 minutes, le temps d’arriver au guichet de la poste le plus proche pour retirer les 300 euros qui s’ajouteraient aux 200 que j’avais sur moi. En revenant avec l’argent, je l’ai donné sans les regarder et repris ma voiture, les laissant à compter l’argent. J’aurais très bien pu les tromper, car il y avait d(autres gens au guichet, mais j’ai préféré ne plus les énerver et rentrer à Luxembourg pour porter plainte contre X.. Il était 15 heures 35 et avant de démarrer j’ai encore annoté la plaque de la voiture. Arrivé devant la centrale de la police, les bureaux étaient fermés, à cause du 1er mai, et je suis rentré à la maison, en racontant à femme j’étais allé voir un coup chez son cousin et voir les brésiliennes. Je lui ai aussi parlé du training que j’ai donné au garçon qui avait aidé notre fille à obtenir son passeport à Bruxelles. Elle m’a fait la tête pour l’avoir laissée seule et me suis justifié en luis disant que pour avoir toujours sa mauvaise humeur à mes côtés à chaque fois que dépasse les 50 km heure, la solitude était la meilleure des compagnies. La fin de journée de ce premier mai 2005, fut de réflexion pour moi. Je me posais des questions sur la démarche à suivre et quoi faire pour arrêter les escrocs et comment me prévenir d’un éventuel chantage de leur part. J’hésitais entre le silence et tout dénoncer à la police. J’avais même tout près de moi à Mersch un ami policier d’investigation qui pourrait me conseiller, mais j’au préféré attendre. Je me suis maintes fois rapprocher le fait que je n’ai pas tenu compte des pressentiments et des avertissements de cœur, car depuis le premier regard, il m’avait de ne pas faire confiance ou chercher à connaître la dénommée Cathy, en réalité Émilie, comme j’ai pu constater par la fiche d’identification de son mail. Á chaque fois que je n’obéis pas à mon cœur, je me repens par la suite et ça que devais le savoir depuis longtemps.Force est de constater que le drogué, par qui que soit, n’est plus en possession de touts les moyens pour dire non ou n’a pas assez de clairvoyance et de courage pour dire non à sa dépendance, à sa drogue.Avant de me d’endormir, j’ai écrit la cruelle réalité virtuelle :LMP, Luxembourg – 2005 “ INConmpleTED ” Le 2 mai, j’ai raconté ma mésaventure à Sandrine et Sissi, à qui j’ai demandé conseil. Selon elle, il fallait oublier cette histoire et ne pas mêler les flics de ses problèmes virtuels, car ils avaient d’autres chats à fouetter. Finalement, j’ai suivi son intuition et oublié le guet-apens, non sans annoter touts les données que j’avais des salauds, le cas où ils chercheraient à découvrir le démon et le justicier que je peux être si on me pousse dans les retranchements et on veut jouer avec mon honneur et ma dignité. Je sais que serai implacable et j’irais jusqu’au dernières conséquences, même payant le prix de ma liberté ou de ma vie. Dieu me connaissant mieux que personne, je savais qu’Il veillerait à ce que je reste un ange. Les mois se sont écoulés et des racoleurs du NET je n’ai jamais entendu parler. Le silence total. Cette fois-ci j’ai suivi mon cœur et Sissi, qui a un cœur aussi que le mien, et j’ai la certitude d’avoir pris la bonne décision. Le silence est d’or et la pourriture il faut pas la remuer, car sinon plus mauvais elle sent ! De toute façon, suivant les principes, tout ce qui ne fait du bien il faut l’oublier et s’en écarter, donc sage décision la mienne. C’est vrai, je le sais, que beaucoup de mésaventures arrivent et de coups-bas sont portés à des ingénus comme moi, même par des gamines et sûrement des gamins, car j’en avis déjà eu un avertissement vers la mi mars. J’avais rentré dans le Tchat portugais et lu « fodidas da cona. » - baisées de la chatte, un langage très cru. J’ai cliché dessus et 2 minutes après j’avais 2 numéros de GSM. J’ai prix par hasard le premier et j’ai eu une jeune fille qui disait aimer le sexe et n’a donné rendez-vous une heure plus tard à la gare d’Esch-Alzette, l’ancienne capital du Grand-duché, dans le sud du pays. Constatant son retard, j’ai alors fait le deuxième numéro en lui racontant tout et à mon étonnement la jeune femme, car plus mûre que la racoleuse du net, s’est montrée très mal à l’aise. Je me suis excusé et rappelé quelque minutes plus tard car sa soi-disant copine n’étant toujours pas là, j’ai essayé encore une fois sous un autre nom pour voir si l’histoire était la même pour tout le monde. Á la fin, elle m’a dit que des copines à elle s’amusait à lui jouer des tours en donnant le numéro de son portable à des inconnus. Par la suite, je n’ai plus trouvé le même nick sur le Tchat, jusqu’à ce tombe sur Cathy, la dernière et la seule femme que j’ai vraiment rencontré et avec qui j’étais, à un moment, décidé à rendre service, car dans le fonds de moi, je ne l’ai jamais sentie digne de mon corps et beaucoup moins de mes sentiments. C’est pour cela, que je crois que je n’accepterais jamais d’aller au lit avec une femme dont je n’aurais pas un minimum d’affinité et de complicité. Ma femme mérite tout mon respect, ma fidélité, mais elle sait aussi qu’un jour, peut-être, l’homme sera plus fort que l’ange et ferai l’amour avec une autre, sans que pour autant, dans mon fort intérieur ça soit une trahison. Trahison et dictature impitoyable c’est la fidélité qu’on nous impose le jour de notre mariage en nous disant qu’elle est sacrée et reflet la volonté de Dieu. Faux, archi-faux ! Tout qui peut voler le bonheur et l’épanouissent de l’être est mensonge et foutaise. C’est, entre autres, pour cela que les couples se déchirent et divorce litigieusement. Par après, je délaissé les Tchats et j’ai adopté la tactique de la sélection par affinités sur MSN rencontres et j’ai commencé à rayer toutes mes confidentes qui ne voulaient jouer franc jeu avec moi en me rejoignant et montrant leur photo sur Messenger. Les honnêtes et de bonne foi n’ont pas eu de mal à comprendre ma démarche et m’ont suivi, les autres je le ai bloquées et oubliées. Elles n’en valaient pas vraiment mon temps et ma peine, donc, ne pouvant pas progresser et m’enrichir humainement, j’ai refuser de m’appauvrir et de placer moi-même des cailloux ou des cadavres ambulants sur le chemin de mon bonheur.

Lud MacMartinson - LMP - Luxemburgo, 2005

Nenhum comentário: